C'est au XIIe siècle, que l'on décide de fonder les églises de St Pierre, St Rémi et St Siméon, autour desquelles s’animent des rues commerçantes et artisanales.
Au XIV et XVe siècle, la ville s’étend, et de nouveaux quartiers naissent, dédiés surtout aux communautés religieuses : le Couvent des Carmes, des Augustins. On pense également à la défense en construisant le Fort du Hâ.
Bordeaux comptait une quinzaine de portes dont six sont encore présentes.
Au XVIIIe siècle, les intendants Claude Boucher et Tourny décident d’ouvrir la ville sur le fleuve en faisant tomber les remparts et en construisant la Place Royale, actuellement Place de la Bourse.
Deux grands axes qui traversent la partie historique de la ville
➢ La rue Sainte-Catherine rue piétonne et commerçante de près de 1,3 km qui coupe la ville du Nord au Sud et qui relie la place de la Comédie (Grand Théâtre) et la place de la Victoire
➢ Et le cours Victor-Hugo qui coupe la vieille ville d'Ouest en Est.
Je suis arrivée à la nuit tombée
Dans le quartier piétonnier, les rues étaient vides, à cause du froid peut-être, on était en novembre.
Ce qui m'a frappée dans cette ville c'est le froid humide dès qu'on pénètre dans cette enfilade de ruelles étroites bordées de maisons de 3 étages, aux hauts plafonds et balcons bourgeois, alors que, au bord de la Garonne, il y a de l'espace et du soleil.
Ce qui m'a frappée ce sont les pavés des ruelles, toujours existants, où il n'est pas très facile de marcher.
